Fabrice Coudret
Il commence le théâtre petit, joue 3 pièces au Lycée, passe 2 ans au conservatoire de Bordeaux entre 1994 et 1996.
S’ensuit un périple en France à la recherche de sa « famille » artistique. Après avoir vécu-à et visité successivement Rennes et Paris, c’est à Saint-Etienne que rencontrant Benoît Lambert il est renvoyé sur une impulsion de celui-ci presque à son point de départ : à Agen, aux côtés de Pierre Debauche.
Entre 2006 et 2009, il jouera au théâtre du jour notamment dans « Le sourire d’Averroès » de P.Debauche ; « Lorenzaccio » de Musset ; « La commune de Paris » de Robert Angebaud ; « L’île au trésor » de Pieryk Vanneuville ; « Et les poissons partirent combattre les hommes » d’Angelica Liddell, « La sortie au théâtre » de Karl Valentin ; « La vie parisienne », d’Offenbach, Meilhac et Halevy ; « La Fausse suivante » de Marivaux ; ainsi que dans un cabaret littéraire.
Il y écrit également, notamment pour un café littéraire déjanté et un spectacle jeune public « Tahn et le Roi Hiver » qu’il met également en scène.
En 2010 il écrit « Locomotif » pour Bivouac compagnie ; une pièce spécialement conçue pour intégrer parfaitement un acrobate circassien, dans laquelle il joue également en 2011 et 2012.
Il s’installe en Auvergne en 2011 ou il assiste brièvement Julie Binot dans la compagnie « Les gemmes » où il joue et co-met en scène « la parenthèse de sang » de Sony Labou Tansi pour le cinquantième anniversaire du CNCS de Moulins ; avant de cofonder le « théâtre de la petite bulle ».
Avec celui-ci il joue et met en scène « C’est le soleil qui m’a brûlé » sur des textes d’Aimé Césaire en 2013, et fait de la mise en scène et direction professionnelle au service des troupes amateurs, avec notamment une série de créations de pièces féministes.
Il travaille comme acteur entre 2013 et 2015 pour la compagnie Dédale dans laquelle il s’investit particulièrement, au fil des Laborynthus, des Cabarets de la pleine lune et de l’école du spectateur.
Il monte ensuite « Johan Padan à découverte des Amérique » de Dario Fo et Franca Rame, avec l’aide
de Patrick Peyrat ; un seul en scène jubilatoire de deux heures qu’il joue encore aujourd’hui.
Il collabore régulièrement avec la compagnie de l’abreuvoir.
Acteur protéiforme, son élan artistique prend sa source dans l’amitié réelle qu’il porte aux publics.
Bruno Marchand
Comédien, metteur en scène
Il est initié au théâtre au Conservatoire Régional d’Art Dramatique de Clermont-Ferrand et formé au Conservatoire National de Région de Lille / Section Professionnelle. Études Théâtrales en Licence
(Censier, Paris III). CA Professeur d’Enseignement Artistique / Art Dramatique.
Il travaille comme acteur sur plus de 40 spectacles en France et en Europe :
Il joue Molière, Marivaux, Racine, Corneille, Giraudoux, Dostoïevski, Mishima, etc et bon nombre d’auteurs contemporains dont Grégo, Duras, Minyana, Koltes, Lagarce, Swchab, Sarraute, Michon etc, avec Moni Grégo, Yves Ferry, Adel Hakim, Elisabeth Chailloux, François Rancillac, Jean-Luc Lagarce, Jean-Michel Potiron, Gérard Abéla, Bruno Castan, Manuel Antonio Pereïra, Jean-Vincent Lombard, Dominique Touzé, Cédric Veschambre, Nadège Prugnard, Solange Oswald et le Groupe Merci etc.
Il collabore avec L’Ensemble Baroque de Limoges, L’Orchestre de Chambre de Toulouse, Le Quatuor Ravel, l’Orchestre Symphonique des Dômes et L’ensemble Beatus pour des récitals, enregistrements et des productions musico-théâtrales.
Il est artiste en résidence où il crée, met en scène et scénographie :
Polzounkov,’1’ d’après F. Dostoïevski, (Théâtre Jean Lurçat, Scène nationale d’Aubusson), 2000
Le mal des Ardents, Opéra Parlé Pour Violon et Orgue de Barbarie, (Centre Culturel de Rencontre et Fondation La Borie en Limousin / Opéra Théâtre de Limoges), 2002
Gibson Rimbaud, une saison en enfer, d’après A. Rimbaud, (TJL, Scène nationale d’Aubusson), 2003
Bonne Soirée de Régis Jauffret, (Théâtre d’Aurillac, Scène conventionnée), 2004
Mon petit garçon, de Richard Morgiève, (La Comédie de Clermont-Ferrand, Scène nationale), 2006
Un certain Polzounkov,’2’ d’après F. Dostoïevski, (TJL, Scène nationale d’Aubusson), 2007
Juste la fin du Monde de Jean Luc Lagarce, (La Fabrique de Guéret, Scène conventionnée, Théâtre
d’Aurillac, Scène conventionnée), 2009
Le plan américain de Evelyne de la Chenelière, (TJL, Scène nationale d’Aubusson, CDN de Limoges, Festival International des Francophonies en Limousin, Théâtre d’Aurillac, Scène conventionnée), 2012
Je te veux de Elyane Antagniague, (Théâtre d’Aurillac, Scène conv, Le Grenier de Toulouse), 2013
Les guerriers de Philippe Minyana, (Théâtre d’Aurillac, Scène conventionnée), 2014
Elle est là de Nathalie Sarraute, (Théâtre de Cusset, Le Sémaphore de Cébazat – Scènes conventionnées), 2017
Perplexe de M.V Mayenburg, (Résidence artiste de territoire-Issoire, Le Caméléon de Pont- duchâteau,
Le Sémaphore de Cébazat), 2022
Il est le fondateur et metteur en scène d’un concept rock forain, « Le mur de la mort », spectacle d’acrobaties moto sur paroi verticale dans un entre-sort forain de 1920. Lui-même ancien pilote moto du «Mur de la Mort», le dernier entre-sort en activité en France est inscrit aux monuments historiques depuis 2007. Le Spectacle et l’ entre sort sont présentés régulièrement depuis cette date en Europe
Fabrice Roumier
Après un stage au cours Florent et l’obtention du diplôme du conservatoire d’art dramatique de Clermont-Ferrand, Fabrice Roumier devient intermittent du spectacle en tant que comédien. Il travaille pour : la compagnie DF (Anatolie, Le ventre de Nina, Déjà la pierre pense…), le théâtre du pélican (Bajazet, Des murs hauts comme des ogres…), Théâtre pas sage (Putain d’usine), les ateliers du Capricorne (Man-darine, Le petit chaperon UF, Marcellin Caillou…), Show devant (14 pièces piégées, Shitz), les donneurs de sérénades (Lucas Domingo, Ne réveillez pas l’homme qui dort…), Lectures à la carte (7 minutes chrono), Ecart théâtre (L’affaire de la rue de Lourcine, Les précieuses ridicules), Lili Label (Ces gens-là & Étranges étrangers), Acteurs, Pupitres et compagnie (Burnout…), Le Cyclique Théâtre (Perplexe) et s’investit un peu plus pour la compagnie Suawa (La vengeance d’une orpheline russe, Yaacobi & Leindental…).
C’est dans cette même compagnie qu’il fait sa première mise en scène : Théâtre sans animaux. Par la suite, Il met en scène en collectif L’éternel Conflit, Sept, Man-darine et Marcellin Caillou. Puis dernièrement, seul, Journal Secret du Petit Poucet avec les Ateliers du Capricorne.
Au cinéma, il joue dans des rôles principaux et secondaires et un petit rôle dans Mitterand à Vichy de Serge Moati, dans Robin des Pauvres de Fréderic Tellier et Meurtres en Auvergne de Thierry Binisti.
Très adepte de la formation et soucieux de faire découvrir l’art dramatique, il intervient avec des adultes, adolescents et enfants dans des ateliers théâtre (Amicale Laïque, BAFA-BPJEPS, Ecole, Lycée section théâtre, FJEP, SUC…) sur des thèmes variés.
Jean-Luc Guitton
Comédien, metteur en scène, lecteur, formateur depuis plus de 45 ans a participé à de
nombreuses créations de spectacles pour la jeunesse, théâtre rural, forain, musical, de répertoire, d’appartement et de rue, de court-métrages, avec le T.A.C.A, le théâtre du Pélican-Bruno
Castan (Neige écarlate, la nuit carnivore, le Babou ou l’enfant sauvage, Urubu ), la Cie des Ravageurs qu’il crée avec Pierre Marius Court en 1992, Brut de Béton, T.P.A, Wakan,
l’Alauda, le Quatuor Prima Vista (contes musicaux), Comédie de Clermont, scène nationale, Ecart-Théâtre, Athra, Le théâtre Olympia de Tours (Un chapeau de paille d’Italie, Don Juan), et avec Magma Performing Théâtre de Nadège Prugnard,( La Jeannine, Putain de route de campagne, le Dernier Titan).
Dans son travail de compagnie Il a souvent privilégié des formes, des figures ou des récits peu usités ou tombés en désuétude tel que le Théâtre du Grand Guignol, le théâtre érotique du XIXème siècle ou les textes pornographiques et de Pierre Louÿs, mais aussi le roman populaire à travers de brefs opéras-bouffes d’Offenbach ou des chansons de la belle époque
( Le rendez-vous des Ravageurs, les Détraquées, on est prié de renouveler) jusqu’à dynamiter les textes et chansons de Boris Vian dans « Airs Bovins ».
Récemment il met en scène « 2222 » de C. Bihel et « Marie Bizarre casse les
couilles » de L.Lebon pour la compagnie Etc Art…, Accompagne la création de « Fado dans les veines » de Nadège Prugnard comme oeil exterieur, recréé « Le dernier Titan » pour
l’inauguration de la Grange, nouvel espace culturel de Vic-sur-Cère et prépare des lectures sur Artaud et Grisélidis Réal.
En 2022, il crée « Rose my dear » de Marie-Anne Denis avec Léa Jousse, met en jeu « trois ruptures de Rémi de vos pour la compagnie Pas Sage de philippe Luneau et tourne dans deux nouveaux épisodes de la Doc et le Veto de Thierry Binisti pour Fr3
Patrick Peyrat
Il est élève au Conservatoire de Clermont-Ferrand de 1987 à 1988, au Conservatoire de Lille (Section professionnelle) de 1989 à 1992. En tant que comédien, il joue avec le Théâtre du Prato, Sous le plus petit chapiteau du monde (92,93), En attendant Godot (94,95), avec la compagnie l’oeil Ecoute, La nuit italienne (93), Peep Schow dans les Alpes (97), avec le Théâtre Narration, La place royale (95), Doruntine (98), Neige (2005) avec le Théâtre des guetteurs d’ombres, Tohu bohu (2000), paroles de quartier (2002), avec Le Cyclique Théâtre sur Le Plan Américain (2012), avec la Cie de l’Abreuvoir, Tous les matins je me lève (2014).
En 1999, il créé sa propre compagnie, la compagnie de l’Abreuvoir à Clermont-Ferrand, avec laquelle il joue comme comédien en 2000 Y’a d’la joie, solo de clown avec pianiste, puis crée en tant que metteur en scène Très tôt sinon rien en 2002 et Confession d’un citoyen en 2003 au Théâtre du petit vélo. En janvier 2004, La compagnie de l’Abreuvoir et le Théâtre Narration crée le spectacle Neige sur le plateau de la Scène nationale de Gap. En 2005, il met en scène Que sont les dieux devenus ? de Joel Mespoulède, en 2008, Novecento pianiste d’Alessandro Baricco, en 2011, Le retour du roi de Joel Mespoulède, en 2014, Building de Léonore Confino et Tous les matins je me lève de Jean Paul Dubois, en 2016, Le petit chaperon de ta couleur d’après Vincent Malone.
CATHERINE REVERSEAU
Catherine Reverseau vit en Auvergne, depuis 25 ans, elle crée des lumières pour des spectacles de théâtre, de danse et de musique, ainsi que pour des évènements.
Eclairagiste, créatrice de lumière et d’ombres pour le spectacle vivant.
Après quelques années comme éducatrice auprès de jeunes, rentre dans la famille du spectacle vivant d’abord comme costumière (création et réalisation) pour la danse, puis pour le théâtre et la musique.
Elle a commencé à appréhender la lumière comme un magnifique outil pour dévoiler différents aspects des textiles et des matières, et par la suite comme un langage à part entière dévoilant nos brillances et nos parts d’ombres.
Curieuse de toutes les formes d’arts, elle travaille avec de nombreuses familles artistiques (théâtre, musique contemporaine, lyrique, jazz, danse, chanson, sculptures, évènements…). Elle utilise aussi la lumière dans l’improvisation avec de nombreux danseurs, musiciens, plasticiens, vidéastes.
Intéressée par les nouvelles technologies, elle reste avant tout attirée par le côté “artisanal” de ce métier. Ceci la pousse souvent à créer de nouveaux projecteurs et systèmes permettant des lumières spécifiques créées pour un spectacle, ou de détourner des sources de lumière de leur destination première.
Elle a ainsi éclairé plus de deux cents spectacles en France et à l’étranger et collabore particulièrement avec des compagnies privilégiant le théâtre musical.
Elle a notamment travaillé pour François Rancillac, J.L Debard, Dominique Dimey, Cie Thylda, D Ardaillon, Marc Lauras, A. Dumazel, M de Bussac, D. Richer, les Ballets du Centre, Cie Anabase, plusieurs festivals de danse, Jackie Taffanel, nombreux chanteurs, Vol K danse, Kirikoketa, Cie Italique Cie la Traverse, Percuphonies, Actuel Théâtre, Theatralador, Cie Entracte, Comédie de st- Etienne, Comédie de Clermont-Ferrand, Centre lyrique d’Auvergne, CIe des Ravageurs, l’Abreuvoir, Cie les guêpes rouges, théâtre de Romette. Cie Hyaquadire (cirque) Elle a fondé le Cartel des argonautes, réunissant 4 créateurs : vidéaste, musicien électroacoustique, auteur et éclairagiste et “co-créé un lieu de spectacle en milieu rural.
Fabrice Coudert
Né le 22 avril 1965 à Clermont -Ferrand Vit et travaille à Clermont-Ferrand
Formation de chaudronnier, dessinateur bâtiment, construction de décor à
l’atelier Guy Durand, régisseur général
Depuis 1995 imagine, conçoit et construit ou construit des décors de théâtre pour diverses compagnies locales.
DF, Théatralador, théâtre du pélican, compagnie du capricorne, Wakan théâtre, les guêpes rouges,
Athra et compagnie, Cie de l’abreuvoir, cyclique théâtre et j’en passe
Exerce en parallèle le métier de régisseur général de théâtre depuis 2005
Noëlle Miral
Noëlle commence le théâtre à l’âge de 9 ans dans plusieurs ateliers des villages aveyronnais. Au lycée, elle choisit de partir à Aurillac pour faire un baccalauréat spécialité théâtre. Après une année d’études en droit à Toulouse, elle déménage à Clermont-Ferrand pour se consacrer davantage à sa passion. Elle entre ainsi au conservatoire d’art dramatique et en licence d’arts de la scène.
Après une riche expérience au festival d’Avignon en 2014 dans le spectacle Rien pour Péhuajo adaptation de la pièce de Julio Cortàzar, elle décide pour de bon qu’elle deviendra comédienne. Elle entre ainsi en cycle d’orientation professionnel au conservatoire, dans lequel elle a également l’occasion d’expérimenté l’écriture et la mise en scène. Elle éprouve très vite la nécessité de capturer quelque chose du présent, de raconter sa génération. Elle écrit ainsi ses deux premières pièces avec Hélène Cerles : La création et Je mangerais bien des Fleurs.
Après l’obtention d’un Diplôme d’Etudes Théâtrales et d’une licence, elle travaille avec plusieurs compagnies : Athra, Simple Instant, DF ou encore les Guêpes Rouges. Avec les Guêpes, elle joue dans Elles marchent dans la ville, participe à la résidence de territoire dans les quartiers nord de Clermont-Ferrand de 2018 à 2021 (L’assemblée des Femmes, Grand épisode, Nous sommes une Iles), ainsi qu’à la résidence à Thiers Dore et Montagne en 2022 (Les Assemblées Flottantes). Elle jouera également dans le prochain spectacle de la compagnie : 14 Juillet 2.
En parallèle, Noëlle est membre du collectif Le Bruit des Cloches, un collectif pluridisciplinaire féminin qui crée des formes transversales entre théâtre, performance, arts visuels et musique. Elle écrit et met en scène le spectacle Roumègue ! une recherche sur le thème de la plainte, basée sur une expérimentation rigoureuse des sons, des corps et de la musicalité du discours. Elle est comédienne dans la deuxième création du collectif : Pig Boy écrit par Gwendoline Soublin.
Pour nourrir son travail, elle continue par ailleurs à faire des stages avec des artistes qui l’inspirent comme Nadège Prugnard, le Collectif Marthe, Jean-Yves Ruf ou encore le réalisateur de documentaires Mathieu Orlieb.
Caty Jouglet
Fin des années 70 –> Théâtre du Pélican – théâtre pour enfants – (dirigé par Dominique Freydefond et Odile Robert) : Les gros gras et les petits maigres, Rébecca, L’enfant et le Géant…
Années 80 –> Théâtre Populaire en Auvergne : Georges Dandin, Lorenzaccio, Qu’est-ce qu’on attend
pour être auvergnat ?, ….
Participe à la création d’un collectif : – STARS – Société Théâtrale des Artistes Résolus à Survivre – : sketchs de rue (agitation politique, culturelle) et ligue d’improvisation. – Matchs d’impro inter-région.
En 1984, reprend la direction artistique des Ateliers du Capricorne (compagnie créée par Marc Dumas.) Cette compagnie revendique à la fois la pluralité en explorant toutes sortes de formes théâtrales, et l’ancrage dans le territoire en créant des spectacles de petites tailles pouvant s’adapter aux salles non équipées.
Durant 30 ans, les Ateliers du Capricorne ou «La petite bête qui dévore les planches » ont exploré trois axes : jeune public, café-théâtre, sciences.
Théâtre pour enfants : Qui craint le grand méchant loup, Un ange passe, Sale temps pour une sorcière, Le petit Chaperon Uf (Jean-Claude Grumberg),
Théâtre et marionnettes : Une petite poule de papier, Man-Dé, Man-Darine, Marcellin Caillou (Sempé),
Lectures mises en espace : Le jour avant le lendemain (Jorn Riel) – avec aquarelles en direct, Histoire d’une mouette et du chat (Luis Sepulveda), – avec marionnettes –
Sciences : …Et nous flottons dans le ciel, Toto n’aime pas les maths. (textes Jean Stratonovitch)
Théâtre de rue à caractère scientifique pour le tout public : Le triangle de Pascal, Comment mesurer la hauteur d’un édifice à l’aide d’un baromètre ?, la pile, le pendule de Foucault, …. (textes Jean Stratonovitch)
Théâtre d’humour – café théâtre – : Les Contristes, L’une monte, l’autre descend, Violette et le député ou Les réflexions d’un aspirateur. (textes Jean Stratonovitch)
Avec d’autres compagnies : Jeanne Bouillotte et Cie (Hansel et Gretel, La baignoire, …), Brut de béton (Médée) Cie Dominique Freydefont (La nuit italienne, Faim de siècle, Peep show dans les alpes, L’étranger, plusieurs « Anatolies » ) Wakan (nuit de Shakespeare, …)
2015 : La compagnie Capricorne est bien implantée en région et hors région et dévore effectivement les planches : il est temps de passer le relais aux plus jeunes, Caty Jouglet décide de transmettre la direction artistique, et l’exploitation en cours de : Marcellin Caillou (Sempé) à Céline Porteneuve et Fabrice Roumier.